EFFECTIVEMENT ....

mais j'aime bien le bleu   

@+ JAHNA 

boulingrain a écrit:

bee gee spécialiste de levée de queue ???

OUI , j'ai lu cet " article  "  sur le cap 10  !!!!

c'est un spécialiste ....  maintenant pour la queue , à lui de nous le dire !!! 



@+ JAHNA 

Dernière modification par jahna (13-03-2012 10:56:40)

Un truc simple pour éviter ce genre de choses tu diminues la puissance de freinage via le fichier aircraft.cfg, par exemple:

[brakes]
parking_brake=1
toe_brakes_scale=0.4                   // 0.6

Dernière modification par Lagaffe (13-03-2012 11:17:15)

Hello,

En bon avion à train classique, le Cap 10 peut s'avérer délicat à piloter au roulage.

Je t'invite à lire le manuel de vol de l'appareil réel et le "Petit Gigot", disponibles aux adresses indiquées dans le manuel de vol du Cap virtuel. En particulier, ces deux extraits du "Petit Gigot" de Patrick Gigot :

Page 3/33 a écrit:

Roulage
- Vent de face : manche maintenu arrière
- Vent arrière : manche au neutre ou secteur avant (vent fort)
- Vent supérieur à 20-25 kt : laisser l'avion au hangar

Page 5/33 a écrit:

Atterrissage :
Tenir l'axe rigoureusement encore plus sur piste en dur. C'est dans cette phase du vol que le Cap 10 est le plus difficile.
L'avion n'est posé qu'arrivé au parking.
Se méfier du cheval de bois dans la phase de décélération suivant l'atterrissage.

En témoignent ces quelques incidents issus du site du BEA :
http://www.bea.aero/docspa/2004/f-yj040 … 40210.html
http://www.bea.aero/docspa/1998/f-nl980 … 80601.html
http://www.bea.aero/docspa/1997/f-tz970 … 70911.html

Mieux vaut freiner doucement. Avec un joystick à "gâchette" (0 ou 1), je procède par clics réguliers plutôt que par un appui continu.

Les freins sont plus des ralentisseurs qu'autre chose. De mémoire un Cap 10 a déjà pris feu suite à une utilisation "abusive" des freins.

Si malgré tout tu veux diminuer l'efficacité des freins, suis le conseil de Didier "Lagaffe".

Bons vols !

slt
le cap 10 est bien un avion de voltige,non?
il y a des vidéos qui le montrent...
celui ci décroche très vite....et l'acro bof on dirait un jodel...si si
pour le cheval de bois ,par contre je n'ai pas réussi..  ......

andré

Si je le  comprare au modele pour FS9 déjà présenté sur le forum..

Dernière modification par esmdu (13-03-2012 14:08:08)

Anto a écrit:

Hullo,

Le Cap est un avion de voltige oui. Mais le Cap 10 est au Cap 232 ce qu'une Clio est à une Ferrari, pour reprendre les termes de Bee Gee.

Le premier modèle de vol (FS9) était une simple copie du FDE de l'Extra 300... Il n'est pas du tout représentatif d'un vrai Cap. J'ose espérer que le modèle de vol FSX s'en rapproche plus en revanche.

Extra 300 : masse max 860 kg, puissance : 300 CV, taux de roulis : 360°/s
Cap 10 : masse max 830 kg, puissance : 180 CV, taux de roulis : 120°/s

Pour tourner un simple looping en Cap 10, il est nécessaire de prendre de la vitesse en léger piqué, contrairement à un Extra qui peut monter quasi-accroché à l'hélice.

Bref, pour ne pas décrocher il faut surveiller les vitesses en début de figure et ne pas tirer comme une brute sur le manche. De toute façon la cellule ne résisterait pas, les limitations en G ne sont pas non plus les mêmes !

Tu es un (petit poil) réducteur sur le Cap10.
La masse max voltige est plus faible.
Le taux de roulis donné est celui du B ... Je pense qu'il y a plus de B/C que de B de nos jours.
Et pas besoin de se mettre en piqué pour faire une boucle (sauf si tu es "haut", mais à 3000 ft, à puissance de croisière ca passe, mais c'est sur qu'en haut, si tu la veux ronde et dans l'axe, faut la travailler au pied et au manche).

Sur un CAP10, si on se met "debout" sur les freins on est sûr de passer à tout coup sur le nez, on appelle ça d'une manière élégante  "faute de pilotage".... en réel bon nombre de CAP ont passé sur le pif ... donc il faut doser, si on a pas de palonnier il faut agir par impulsion et le vrai bon style c'est d'apprendre à ne pas utiliser les freins ...

En voltige la figure la plus difficile à apprendre est le tonneau lent exécuté en six secondes, cela nécessite de gérer finement les passages tranche et le passage dos, un bon pilote doit être capable d'enchainer 4 tonneaux lent d'affilé sans perdre l'axe ne l'altitude, un très bon pilote fera ça à 50 m sol ou moins sans aucun risque alors que c'est potentiellement plus que très dangereux si on ne sait pas faire, c'est sur cette simpe figure de base qu'on distingue un vrai bon pilote d'un branleur de manche.... simple seulement en apparence ...