Ce qui m'énerve le plus depuis que l'on parle d'Obama ,c'est qu'on dit qu'il est noir !!!! alors que sa Mère était blanche!!!de......blanche,il s'agit donc d'un pur métis ,qui, si on remonte dans la lignée maternelle aurait des ancêtres Cheyenne et même Belge!!!

Alors, de Grâce, ne parlez plus du premier Président américain Noir, mais bien du premier Président Métis, car le contraire serait du racisme pour nous Blanc,Cheyenne, et surtout Belge......,

Gilles.DR315 a écrit:

C'est parceque çà fait que 40 ans, que les "noirs" ont le droit de vote.
Dommage que Luther King, n'a pas pu voir çà de nos jours.

Content que çà soit un "metis" à la maison blanche, le contraste sera encore mieux !

Jesse Jackson l'a vu pour lui

Vous vous rendez compte ?! Barack HUSSEIN Obama est président des USA ! Et en plus il est NOIR ! Y'en a qui doivent se retourner dans leur tombe

Dernière modification par babar (06-11-2008 18:34:42)

en tout cas, la bourse semble réagir bizarement depuis l'election.

Pour rigoler un peu:
http://www.leclipquidechire.com/ie/clip.html

Geoff a bien résumé la chose . Attention à la gueule de bois après l'euphorie de la fête .


Quelques infos sur le sujet qui va le ligoter et l'empêcher d'agir à sa guise : l'argent .

Obama, la créature de Washington :

Certains journaux américains n'ont pas attendu pour relativiser le cas Obama. Dans un portrait critique, publié dans Harper's Magazine en novembre 2006, Ken Silverstein croquait Obama en créature, qualifiée de « Washington machine », façonnée sur mesure par les lobbys et les réseaux de communicants, conseils en relations publiques, sondeurs et autres stratèges politiques.

Repris en partie par la revue Le plan B, le portrait « souligne ses liens avec des bailleurs de fonds liés eux-mêmes à de grandes entreprises, ainsi que son opposition à un calendrier impératif de retrait d'Irak. Il rappelle aussi qu'en 2006 Obama a soutenu le sénateur démocrate pro-guerre Joseph Lieberman contre le candidat investi par les militants du parti, Ned Lamont. Mais même les commentateurs de gauche les plus sévères envers Obama omettent souvent les éléments de son passé politique qui contredisent son étiquette d'homme du centre. De son côté, Joe Klein, éditorialiste « ultracentriste » du i[Time, célèbre le sénateur de l'Illinois pour la raison suivante : « Il semble faire preuve d'une volonté presque obsessionnelle de trouver un terrain d'accord avec la droite »


Une campagne financée à 75% par des gros donateurs privés :

Interrogé par le Journal du Dimanche, Dominique de Villepin appelle, lui aussi, à une certaine prudence: « Obama est séduisant, mais n'allons pas réinventer l'atlantisme s'il était élu! L'Amérique n'est plus le centre de l'Occident qui n'est plus le centre du monde. Obama, comme McCain, défendra les intérêts de son pays, qui ne seront pas exactement les nôtres. Il développe des thèmes sociaux qui renvoient à Roosevelt. Mais il est aussi choisi par des lobbies financiers: la moitié du financement d'Obama vient des grands groupes, de dollars venus de Goldman Sachs... ».


En effet, Obama est le premier candidat de l'histoire des élections américaines qui refuse la subvention électorale de l'Etat fédéral (84,1 millions de dollars) et finance entièrement sa campagne grâce aux donateurs privés. Un coup fatal porté au mode de financement public des élections. Du jamais vu et sans doute un nouveau problème à régler pour le financement des futures campagnes politiques. Pas mal pour un candidat censé incarner la gauche de l'échiquier politique. Barack Obama a beaucoup communiqué sur ses méthodes de financement consistant à s'appuyer sur les petits donateurs privés. Certes, il a récolté 600 millions de dollars au cours de cette campagne, le double des sommes levées par son opposant, selon une enquête du Washington Post.


Simple détail, souvent oublié, les trois quarts de cette somme ne proviennent pas des militants de base mais de grands donateurs, VIP, grandes fortunes, lobbies, entreprises… Les élites du pays qui ne manqueront sans doute pas de se rappeler à son bon souvenir en temps utile.

Jeune, cela veut dire : ouvert d'esprit mais aussi avide de connaissances afin de mettre tout en oeuvre pour amèliorer le quotidien de ses frères . A cet égard là l'abbé Pierre était plus jeune que votre gars qui use son essence en tournant dans son quartier à la recherche d'un ptit larcin!!!!!
Le grand drame de notre époque c'est la médiatisation de ce que l'on appelle : la réussite, car si pour certain ce sera l'exemple positif d'un savant ou d'un grand écrivain, pour la multitude ce sera plustôt la réussite d'un acteur de série ou pire d'un escroc.
Eh là avec tous les budgets de l'éducation en baisse on ne va que faire 'empirer la situation.
Graver dans votre mémoire, messieurs les Politiques, les paroles du grand Victor Hugo : Chaque fois que l'on ouvre une école, on peux fermer une prison.
Vous remarquerez que actuellement on fait exactement le contraire.

C'est clair qu'on va pas régler les problèmes des banlieues au Karcher, faut être complètement incompétent pour espérer que ca marche!!!!

François

Vous remarquerez que actuellement on fait exactement le contraire

Et heureusement, je pense même qu'on devrait en ouvrir un peu plus, des prisons...

Pour avoir cotoyé certains abonnés aux incarcérations, je doute que l'école puisse leur être d'un grand secours...

Depuis que certains psychologues ont inventé le concept de l'enfant roi il y a une vingtaine d'années, la société se retrouve face à des jeunes ingérables. Il ne s'agit pas là d'un problème d'instruction (rôle de l'Ecole) mais d'un problème d'éducation (rôle des parents). Or, cette éducation défaillante ne peut plus être rattrapée puisque pour être efficace, l'éducation doit être réalisée dans les premières années de vie d'une personne, à 13-14 ans il est trop tard.

Vous me répondrez que ce n'est pas la prison qui remettra ces jeunes et moins jeunes dans le droit chemin. C'est tout à fait vrai. Le problème  est que le rôle de la prison est mal compris par la majorité de la population, et parfois même d'une partie du personnel qui y travaille. Le rôle de la prison n'est pas d'assurer la réinsertion des prisonniers ou leur éducation, le rôle de la prison et de recevoir et garder les individus qui présentent un danger pour la société, et ainsi de protéger la société de leurs agissements...

Non, cela s'appelle de la naïveté...

Un homme ne change que pour devenir pire...

Ce discours, n'est pas basé sur un style de pensée Sarkosien, ou autres. C'est simplement le fruit d'une refléxion personnelle basée sur mon expérience personnelle.

Néamoins, Condorph, faisons preuve d'ouverture d'esprit. Admettons que tu sois dans le vrai et que l'instruction permette de changer un homme. Dans ce cas comment fais-t-on pour changer un homme qui refuse toute instruction ? Autant que je sache, on ne peut pas forcer un homme à s'instruire...

Bee Gee a écrit:

L'instruction n'a guère de chose à voir avec l'intelligence.

L'humanité est tellement débile que souvent j'ai honte d'en faire partie..

....  donc il me reste le suicide.....

....cependant, avant de mettre en application,  j'attends que le N3202 de Restauravia et le M2000 de Rollus soient terminé !

Lol Bee Gee, paraît que la mort c'est se plonger dans l'éternité et comme dirait Woody Allen "l'éternité c'est long surtout vers la fin" . Finalement, vaut encore mieux la vie vu qu'on sait que ça finira un jour

Pour être sérieux, pour éviter que l'homme fasse trop de connerie, faut le distraire (l'intéresser y en a qui disent aussi). Ça me rappelle un jeune, une vrai tête de con, irrécupérable qu'y disait... il a découvert la mer, les bateaux, l'aventure et v'la t'y pas que maintenant on l'envie

++

Dernière modification par livai (12-11-2008 15:08:22)

Bee Gee a écrit:

pour éviter que l'homme fasse trop de connerie, faut le distraire

C'est pour cela qu'on a inventé le foot ...

... Et flight simulator (c'est toujours mieux de s'écraser virtuellement. C'est aussi valable pour d'autres jeux)

Chui d'ja parti m'sieur !

a+

Dernière modification par Val77 (12-11-2008 16:19:31)