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Oui, Vincent a répondu précisément à la question.
Pour imager cela la page 4A18 du manuel original du PA28 donne toutes les réponses
Bonne lecture
Oh là, Oh là, on se calme !
Moi, je suis pour la paix des ménages....
J'ai probablement fait l'erreur d'écrire: potentiomètre vs encodeur, l'éternelle question
j'aurai dû écrire: potentiomètre ou encodeur ?
Mais surtout ne pas opposer le potar au codeur, tout comme ne pas opposer la version de quelqu'un avec celle d'un autre.
Ce n'est surtout pas le but de notre forum....
Dépassionnons le débat et respirons un grand coup, la vie est belle malgré tout.
Pour revenir à ce qui nous intéresse je voulais simplement comprendre si dans certains cas le potar pouvait être utilisé à la place d'un encodeur et inversement.
Bien sûr que le pot n'a pas la même conception que le codeur et que en général il est utilisé pour les mouvements linéaires ( mais pas que, et nous le savons tous); cela personne ne le remet en cause.
Bien sûr que chacun à ses spécificités et heureusement, et personne dit textuellement que l'encodeur est pareil que le potentiomètre.
Notre esprit bidouilleur doit être plus fort que notre esprit polémiqueur et c'est enrichissant.
En fait on s'aperçoit de la difficulté d'intervenir sur un forum: chacun à sa manière de parler qui lui semble naturelle mais il faut admettre que cette manière puisse être comprise d'une autre façon. Comme nous ne sommes pas des agrégés de philosophie ni de psychologie il nous faut être tolérant envers chacun pour ne pas se sentir "pris à rebrousse poil".
Si nous ne faisons pas attention je pense que l'on peut faire peur aux jeunes inscrits, décourager ceux qui n'ose pas intervenir parce qu'ils ne sentent pas à la hauteur et pensent qu'ils vont se faire renvoyer dans les 22 au moindre faux pas.
Au contraire il faut susciter l'envie d'échanger quitte à écrire des bêtises...
Bo, effectivement padu76 n'a rien dis de méchant , tes explications "passionnés" nous font toujours plaisir et nous aurons encore besoin de toi.
Rassurez-vous le novice que je suis n'est pas perdu et j'ai bien fait la différence entre l'un et l'autre !!!
Michel
A bientôt pour de nouvelles interventions, j'aurai encore besoin de vous tous
Ah le mauvais joueur !
dans certain cas, l'utilisation d'un potentiomètre rotatif et d'un encodeur rotatif remplissent les mêmes fonctions
C'est dommage, je n'ai pas de potar sous la main pour faire des tests; Potars + Carte LB BU0386X feront parties de la prochaine cde dans quelques semaines
Bo, tu m'avait dit "on t'a à L'oeil" , il semblerait que ce soit le cas ! - J'ai pas intérêt à faire un faux pas moi!
Merci padu76 pour tes explications qui me conforte dans l'idée que j'avais.
Pour l'instant je fais mon apprentissage avec les composants électroniques, aussi ne sois pas étonné par mes questions mal formulées
Reprend moi si je me trompe:
Le potentiomètre envoie un signal analogique compris entre 0 et 5v pendant sa rotation comprise entre 0 et 360°. Une carte Leo Bodnar BU036A va donc faire varier le paramètre de 0 à 100%.
Le codeur rotatif envoie un nombre d' impulsions par tours effectués, la carte reconnait la valeur de ces impulsions, le sens (incrément ou décrément) et traduit tous cela en faisant varier le paramètre .
La seule différence à mes yeux (de débutant) est que le potar est limité à 1 tours donc une variation de 0 à 100%, alors que le codeur a une course infinie et donc le paramètre augmente ou diminue de manière infinie. Dans beaucoup de cas ce coté infini ne devrait pas poser de problème parce que dans FSX/P3D on peut tourner le bouton de manière infinie sans que la valeur change si elle est arrivée en butée.
Si jusqu'à présent mon raisonnement est juste on peut dire que, dans certain cas, l'utilisation d'un potentiomètre rotatif et d'un encodeur rotatif remplissent les mêmes fonctions: => donc lequel choisir ? d'où ma question potentiomètre vs encodeur?
Et c'est pourquoi aussi je demandai aux utilisateur de potars quelles affectations ils en avaient ?
Michel
Par contre pour les contacts et les potentiomètres ça marche super.
potentiomètre vs encodeur : l'éternelle question !
Pour quelle utilisation prends tu les potars?
greg a écrit:
Pas sûr d'être sur la même longueur d'onde quand même
Tu ne voudrais pas remplacer cette vue fixe par des écrans en lieu et place ? Si j'ai bien compris donc...
Mais pas du tout !!!
De ce que j'ai pu me rendre compte, il existe en gros deux types de tableau de bord:
1 - celui qui est affiché sur plusieurs écrans, comme celui de notre ami coyote60
2 - celui entièrement reproduit en fabrication maison avec des cadrants type fip saitek
Aucune des 2 solutions ne me satisfont:
- la première, parce que je trouve que l'utilisation de la souris ou du clavier pour manipuler les réglages ne fait pas du tout réaliste (je n'ai rien contre toi Coyote60! ne m'en veut pas!)
- la seconde, parce que je ne m'appelle pas Crésus (pour le prix d'un fip je peux m'acheter 4 cartes BBI32), du coup l'investissement devient tellement important qu'il devient difficile d'équiper deux tableaux de bord en même temps. Ensuite le cadrant générique "passe-partout a du mal à contribuer au style de l'avion choisi (pour un tableau de bord de Catalina cela ne le fait pas trop .... )
Par conséquent j'essai de trouver une situation intermédiaire faite du mix de l'un et de l'autre:
- un tableau de bord qui reprend la forme et le graphisme du vrai
- j'y incorpore tous les accessoires du vrai pour manipuler les réglages (y compris par exemple les prises casque qui lorsque l'on branche un jack et bien le volume sonore de la cabine diminue) - attention: tout ceci dans la limite de posséder et de maitriser les variables s'y rapportants.
- et puis comme j'en ai besoin, j'affiche sur un écran "de navigation" le zoom sur le cadrant que je suis entrain de régler.
Explications avec par exemple le cas du réglage de l'aiguille de référence température EGT:
1- je tourne le bouton de l'encodeur situé sur le tableau de bord en lieu et place du cadrant EGT
2- je visualise ce que je fais sur l'écran de navigation
=> parce que aussi j'ai appuyé sur un petit bouton poussoir situé à proximité du cadrant egt sur le tableau de bord:
Ezdok reconnait les cartes interface bouton, donc j'ai assigné un contact de ce petit bouton poussoir à une vue zoom du cadrant egt. Une fois le réglage terminé je reviens à la vue par défaut de manière traditionnelle avec un bouton sur le yoke.
Nota: ce petit bouton poussoir peut être pour un cadrant seulement ou pour une zone plus grande, tout dépend du confort que l'on s'impose...
A suivre
Message supprimé, erreur de choix du sujet
Tout cela est une discussion bien intéressante et qui mérite de continuer mais qui n'a plus rien à voir avec son titre initial "Comment s'appelle ce commutateur".
Aussi je ferme cette discussion qui a été résolue pour en ouvrir une suivante sous le titre:
"Tentative de méthode de réalisation"
Autrement dit: Tentative pour une méthode simple de construction de tableaux de bord.
A bientôt
Michel
Bonjour,
Cette discussion fait suite à une précédente ouverte sous le titre "Comment s'appelle ce commutateur ?".
Ce nouveau titre devrait plutôt s'appeller: Tentative pour une méthode simple de construction de tableaux de bord.
Il y a plusieurs semaines mon idée de départ était de réaliser un tableau de bord pouvant s'adapter à plusieurs avions issues de l'aviation générale, mono ou bi-moteur(s); un tableau de bord polyvalent en quelques sortes. Au fur et à mesure de mes réflexions je m'aperçois que si cela tente de simuler plusieurs avions, en revanche cela n'en ressemble à aucun parce qu'il y manquera toujours un chronomètre, un S-TEC 30 ... ou autre instrument, et que le réalisme n'y sera pas parce que la disposition des instruments n'est pas la même d'un avion à un autre.
Du coup ma réflexion s'oriente plutôt vers comment définir une méthode simple pour construire des tableaux de bord ?
Parce que:
- les choses simples sont souvent les meilleurs
- pour plus de réalisme le tableau de bord doit représenter avec suffisamment de précision celui de l'avion choisi et non pas un autre
- puisqu' il faudra plusieurs fabrications autant éviter les réalisations longues et onéreuses (j'espère que cela ne restera pas un voeux pieux!)
- on proscrit au maximum l'utilisation de la souris ou du clavier pour manipuler tous les réglages à effectuer, par ex: pour régler l'altimètre il est plus sympa de tourner un vrai bouton plutôt que d'agir sur le scroll de la souris
- on crée quelques modules radio et gps réutilisables d'un modèle à un autre
- une fois que le matériel est défini on réutilise les mêmes choix de modèles et fournisseurs, pas la peine de réinventer l'eau chaude à chaque fois, donc un très gros gain de temps de recherche
- le tableau de bord est amovible, ainsi en le dévissant depuis son support et en ajoutant un complément (calage) on transforme un poste simu en poste de travail bureautique
- lors du réglage d'un instrument le coté manipulation (geste) se fait sur le tableau de bord et le contrôle visuel de l'action s'effectue sur un écran - j'expliquerai cet aspect prochainement
Bref tout est dans la méthode - une méthode simple pour un résultat efficace - (aie aie aie!!! qu'est ce que je viens de dire? pas un peu trop difficile là quand même?)
A suivre
Merci faux-avion pour tes encouragements !
Du coup, moi qui pensait faire mon petit truc sans rien dire de mon côté et qui n'en aurait parlé que si cela avait été réussi, ben c'est foutu.
Maintenant que tout le monde est au courant, va falloir que je sois à la hauteur .....
Oui j'imagine bien que tu aies des difficultés pour me comprendre parce que déjà pour moi tout n'est pas forcément très clair pour le moment....
En fait une chose est sûr: je ne veux pas réaliser un simu pendant des semestres, qui occupe toute la place dans mon bureau à la maison, qui me coûte trop cher et quand il est fini me fasse regretter d'avoir choisi de simuler tel avion parce que entre temps j'ai eu le coup de foudre pour un autre.
Ensuite parce que c'est ma première réalisation, qu'il me faut tout découvrir, puis apprendre et faire des erreurs.
Donc une réalisation que j'estime être simple, sans grands travaux de menuiserie (bien que la menuiserie soit mon métier), suffisamment rapide à mettre en oeuvre, qui simule autant que possible le fonctionnement d'un mono ou bi moteur(s) et qui puisse évoluer.
Mais c'est dans ce que j'entends par "évolution" qui n'est pas très clair! Au fil de mon avancement je me rends compte que le tableau de bord d'un Cherokee des années 60 peut difficilement muter vers un bimoteur glass cockpit par exemple...
Ma question aujourd'hui est de savoir comment concevoir un cockpit suffisamment modulaire pour pouvoir s'adapter à différents modèles d'avions.
Alors peut-être que je rêve beaucoup et que je la montagne va accoucher d'une souris.... Mais bon, il faut bien partir de quelque chose et avancer.
Pour l'instant mon projet est le suivant:
- un tableau de bord basé sur le PA 28 180 de chez A2A.
- la planche de bord ( 1000*387 mm) est composée d'un squelette cp 8mm formant ossature porteuse, rigide avec renforts et se fixant sur un plan de travail qui reçoit aussi les écrans. Cette planche de bord sera facilement amovible parce que une fois démontée je pose à la place un "complément" qui me redonne un espace de travail façon bureautique: Comprenez un plan de travail modifiable pour un usage simu ou bureautique.
- ce squelette reçoit plusieurs tableaux de bord amovible facilement (c'est le côté évolution)
- un tableau de bord est composé d'un panneau type médium 3 mm revêtu de papier A4 120gr de couleur, imprimé avec un dessin reproduisant les détails des gauges, inters, signalétiques etc... Jusque là on est dans de la représentation, il n'y a rien de mobile.
- ce tableau de bord reçoit les commutateurs, encodeurs et rotary swichts nécessaires, lesquels sont reliés en filaire à une ou plusieurs cartes bbi 32 de chez Leo Bodnar. La ou les cartes sont fixées au derriere du tableau de bord.
- la modularité est assez facile à réaliser avec l'ensemble des radios: de base je l'équipe avec 6 modules amovibles
- Audio KMA24, ComNav1&2 KX155, ADF KR87, DME KN64, XPNDR KT76A. Si je décide d'équiper l'avion (ou pas) avec le gns 400, je rajoute ou j'enlève le module gns 400.
- frein de parc, puissance, mélange et trims sont actionnés avec le yoke et quadrant Saitek.
Voilà Greg, je ne sais pas si ces quelques lignes peuvent t'éclairer.... Quelle était ta réflexion à ce sujet ?
"Pense aussi aux pièces réelles"
Oui, mais alors là Jack tu es en train de m'injecter le virus du simu cockpit "intégral", et je vais tout faire pour y résister; (sauf peut-être pour le yoke ....)
En fait je suis parti sur un autre raisonnement: plutôt que de faire un cockpit vraiment fignolé dans les moindres détails, je préfère réaliser un tableau de bord équipé de toutes les commandes manipulables mais sans y intégrer les gauges réelles. Par exemple je règle la course du heading selector en tournant un encodeur CTS 228T, raccordé à une BBI32 interfacé à mon P3D avec Linda (ou Fsuipc selon les besoins). Ensuite le control visuel se fait sur l'affichage de la gauge soit ponctuellement avec Ezdok, soit sur un écran affichant les gauges déportées.
En faisant ainsi je supprime l'usage de la souris pour activer les commandes, je n'utilise plus les modules Saitek (bien utiles par ailleurs) qui je pense ne font pas réaliste dans un simu, je diminue la dépense investissement financier et puis je me laisse la possibilité d'une conception "modulaire" - par exemple en enlevant une ComNav et en ajoutant un gns 430 et 530, ou pourquoi pas un gns 750 (sous la forme d'une tablette - laisser moi rêver!).
Enfin bon, soyez indulgents avec moi les amis, c'est ainsi que je vois les choses aujourd'hui et j'ai (peut-être) le temps d'en revenir....
"le simu cockpit , j'en reviens un peu ....." Tiens tiens, c'est un sujet qui a été largement débattu il y a quelques semaines ( discussion qui m'aurait presque fait tomber le moral dans les chaussettes d'ailleurs), et c'est pourquoi je préfère un simu light, modulaire et réutilisable; Aujourd'hui le PA 28, demain un autre ou pourquoi pas les deux...
Pour imager la chose voici le plan du panel (le dessin n'est pas fini)
Mise à jour 02/01/16 18:14
Bon réveillon les amis !!!!
Exact Jack, tu as raison.
d'un autre côté tout se calcul parce que mes finances ne sont pas extensibles à souhait!
Pour modéliser le fonctionnement du PA28 Cherokee il me faut environ:
- switchs levier/poussoir/lineaire = 43
- rotary switchs = 9
- encodeurs simples/doubles/avec switch = 24
- boutons/caps = 39
- cartes d'acquisition BBI-32 = 5
- et je ne te dis pas tout - chut! c'est secret....
Je te laisse calculer le total que cela représente.... la hotte du Père Noël ne sera pas assez grande
Alors sachant que je n'ai pas pris le moins cher (on en trouve à 1€ de moins) et que celui que je sélectionne est spécifié pour :
"Operating life with load = 10,000 cycles(0.1A 30V DC)"
=> même s'il vit 9,000 cycles de moins je suis prêt à faire l'essai !
Poncer les bandes, je connais bien le sujet !
Bande à placo, première passe, deuxième passe, ponçage.
Et c'est pas fini! Ensuite passer la balayette partout, peinture d'impression sur le placo, égrenage, peinture de finition 1ere et 2ième couche....
Ah le métier...!
Re- bon courage;)
Merci Matthieu,
Toutes les précisions apportées par vous tous m'ont permis de cibler le type de modèle que j'ai besoin, c'est par exemple ceci:
http://fr.farnell.com/alps/spph410100/commutateur-dpdt-0-1a-30vdc-tht/dp/1435768
On voit bien sur la doc qu'il a la fonction latching.
Les deux exemples Inter 1 & 2 que tu cites sont effectivement bien avec verrouillage de la course du poussoir.
Effectivement le fait qu'il soit marqué ON/OFF n'est pas suffisant, dans mon besoin il faut AUSSI que le le bouton RESTE en position basse; Beaucoup d'inter ON/OFF ont leur bouton qui revient en position haute après avoir établi le contact fermé. Pour preuve voici un exemple que j'ai en stock :
http://fr.farnell.com/multicomp/mc8mslp1b05m1qe-5/switch-spdt-on-on-solder/dp/2008739?ost=mc8mslp1b05m1qe-5&selectedCategoryId=&categoryNameResp=Toutes%2Bles%2Bcat%25C3%25A9gories&searchView=table&iscrfnonsku=false
Et voici sa doc:
Michel
Merci les amis !
Effectivement les termes : à enclenchement, verrouillé, latching, désignent l'état dans lequel se situe le poussoir. Ces précisions orientent mes recherches dans de nouvelles directions....
Le problème dans ce genre de recherches chez un fournisseur est que l'on se trouve face à une quantité impressionnante d'articles et que les fonctions de filtre de recherche ne suffisent pas toujours à éclairer le néophyte.
Bo: Attention le problème est plus complexe qu'il n'y parait, par exemple les termes "momentané et permanent" désigne l'état du contact lorsque le poussoir a effectué sa course ( momentanément fermé ou fermé de manière permanente), mais pas l'état dans lequel se trouve le poussoir ( il peut rester "enclenché" en position basse ou bien revenir en position haute)
Donc on peut avoir 2 interrupteurs qui tous les deux vont fermer un contact, mais le poussoir de l'un va rester enfoncé alors que le poussoir de l'autre va reprendre sa position haute.
Pour la petite histoire, je cherche à reproduire le fonctionnement du bouton PULL IDENT en utilisant un bouton cylindrique comme ceux utilisés sur un switch OFF/ON mais en l'adaptant sur un commutateur poussoir. Même chose avec l'Audio en greffant un petit cube de plexi blanc sur un commutateur poussoir.
Dans ces deux cas le bouton DOIT rester en position basse (enfoncée) pour fermer le contact.
De toute façon, vous les Canadiens vous être trop forts contre nous les Gaulois parce que déjà au départ vous maitrisez 2 langues.... Difficile de lutter....
Michel
Bonjour,
Comment s'appelle un commutateur :
- de type = poussoir
- de fonction de commutation = OFF ( ou ON peut importe pour cet exemple) - ON
- MAIS DONT LE BOUTON RESTE ENFONCÉ ( à enclenchement) quand on appuie dessus et qui reprend sa position initiale après un nouvel appui
Comme par exemple le bouton PULL IDENT d'une radio ComNav ( KX155 )
Toutes mes recherches chez des fournisseurs type Conrad, Farnell... me donnent des commutateurs dont le boutons remonte aussitôt après l'avoir relaché.
Et si en plus vous avez un exemple... je suis preneur
Merci
Michel
Sur Flight1 je crois qu'aujourd'hui ils commercialisent la version complète pour P3D. Pour les possesseurs des versions antérieures comme moi ils demandent d'installer la version initiale 1.15 + la mise à jour 1.17 que j'ai aussi et de télécharger le patch 1.18.7
Que nenni !
Ici télécharge la V1.18.7, ceci est valable avec ton ancienne licence.
Enfin autant que je me souvienne !
Tomy,
Tu l'as certainement bien fait mais sait-on jamais .... j'imagine que tu as bien installé la version 1.18.7 directement comme il se doit ?
En résumé Ezca s'installe mais ne réagit pas....
Je parierai bien pour l'antivirus qui t'a écris une ligne pour bloquer Ezdok
(j'ai même viré mon anti-virus carrément)
Si tu réactives l'av après l'instal , il te bloque Ezdok malgré tout...
Tomy:
Peut être un tout petit conseil qui changera tout suite à ma complainte ?
Comme toi j'ai eu aussi une installation difficile de Ezdok quand j'ai installé w10 + P3D. Quelques lignes plus haut j'ai écrit:
" L'installation doit être effectuée avec rigueur et avec toutes les précautions habituelles : en admin, uac à zéro, antivirus et parefeu off, répertoire et exécutable ezdok.exe déclarés dans la liste des exclusions du scan de l'antivirus et du parefeu."
As-tu procédé de même ? Où se situent tes échecs ?
Michel
Et puis sinon il y a ce post qui traite directement du sujet:
Je fais la visite pré-vol sans toucher au hat switch sinon c'est le bazar.
Si malgré tout les vues sont chamboulées, je recharge l'appareil et c'est bon.
Michel
Bonne idée Alain,
La version du bios est la F6, c'est la dernière, enfin presque parce que la toute dernière est une beta Bios donc il est urgent d'attendre....
Effectivement je connecte déja les hub sur ces ports usb 2.
Ah on finira bien par trouver un jour! C'est d'ailleurs ce qui se passe à chaque problème, on trouve (quasiment) toujours une solution suffisamment satisfaisante à tout - ce n'est qu'une question de temps.