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Base Aérienne d’ISTRES
Pilote d'essais : Bulls
Horaire de vol : 14h-15h
Durée du vol : 1H00min
Objectif du vol : Comportement de l’appareil,
Aéronef : MIRAGE 2000C avec charge extérieur
Constructeur : Dassault Aviation
Immatriculation : N°039
Développement : L’équipe de la Gmax Académie
Les différentes phases, mise en route, décollage sont identique, rien de particulier.
Essai en vol :
L’essai en vol aujourd’hui fut de voir le comportement de l’avion avec l’arrêt du moteur en vol, et, son rallumage.
J’ai constaté que l’avion vole assez bien avec le moteur à l’arrêt. Il n’est pas possible de sortir le train, ainsi que les volets sans moteur, mais on peut sortir les aérofreins.
J’ai fais voler avec peu d’essence, et, à la panne sèche, l’avion se comporte très bien. On ne peut pas utiliser le train, les volets, et, la radio ne fonctionne plus. J’ai trouve l’astuce, après plusieurs essai de démarrage, ca m’a permis de sortir le train, et, de m’annoncer en May Day à la Tour.
Je suis toujours aussi heureux de piloter un appareil comme celui-là.

                                    Bulls
                                    CEV Virtuel.

Base Aérienne d’ISTRES
Horaire de vol : 08H00/09H00
Durée du vol : 1H00min
Objectif du vol : Comportement de l’appareil
Aéronef : MIRAGE 2000C
Constructeur : Dassault Aviation
Immatriculation : N°001
Développement : L’équipe de la Gmax Académie

Avant Mise en Route :

Istres, le soleil est au rendez vous, je fais le Tour de l’avion avant de monter à bord j’ai pu admirer le model 3D qui est parfaitement correct et la texture est superbe aussi, il ne manque rien. Je reconnais l’art de notre cher Pierre. Il y a écrit le numéro 5 sur le train d’atterrissage, il devrait y avoir une bande bleue. Voir l’avion exposé au musée de l’air et de l’Espace:

Je monte à bord, le panel 2D est bien fait, mais on voit la perche de ravitaillement en vol, qui n’existe pas sur le prototype. Dommage qu’il n’y ait pas un cockpit 3D, mais ce n’est pas grave du tout. Moteur éteint, j’appuie sur I pour les lumières, je remarque un petit soucie en effet, une flamme sort de la tuyère malgré le moteur à l’arrêt.

Mise En Route :

Il n’y a pas de procédure particulière pour la mise en route. A la mise route, on commence a sentir la puissance de cette appareil. Le bruit du moteur est excellent, on s’y croit.
Je fais un tour a l’extérieur et qu’elle est ma surprise, le bras droit du pilote est fonctionnel avec le manche à balais, c’est excellent. Dommage le gauche lui ne bouge pas, mais ce n’est qu’un détail.

Essai Moteur :
Toujours sur le tarmac, j’essaye la puissance du moteur avec le frein de parking. En effet, il avance quand même, mais je remarque que la tuyère est fonctionnelle comme les souris. (Ca me rappelle le mirage 3 de Pierre.)

Essai en vol :

Je demande l’autorisation à la tour de contrôle pour rejoindre le point d’arrêt de la 33. L’indicatif radio est bien 01.
Je teste aérofrein pendant le roulage, ils sont bien fonctionnelles, le voyant aérofrein lui aussi marche. Je teste les freins, pas de soucis, le mirage salue souplement du train avant. Mon impression à l’instant t est le réalisme de l’appareil. Par contre un petit souci, la manette des gaz sur 0 mais l’avion accélère tout seul. La visibilité est parfaite sur l’avant et les cotés. La roulette de nez conjuguée au palonnier rend le roulage très aisé.
Après avoir eu la clearance, je m’aligne sur la 33, encore un petit coup d’œil sur cette merveille. Je mets la gamelle, et, c’est parti, il accélère très vite, j’arrive très vite à 150 kts, je tire sur le manche et la rotation s’effectue. Le badin et l’altimètre s’affolent. Je rentre le train avant 250 kts.
Je prends le cap 180 direction la mer, je reste a fond sur la manette des gaz, mission passer le mur du son au dessus de la Méditerranée. Je pousse le 2000 jusqu’à 900 kts, je n’arrive pas plus. Ce n’est pas grave j’essayerai plus tard. Je vois que ma jauge en a pris un coup. Je réduits ma vitesse, l’avion est très maniable. Il est agréable à piloter.
Je tente maintenant la vitesse de décrochage en lisse, j’obtiens 90 kts.
Je constate aussi un filet de condensation juste sur l’aile droite et je ne sais pas si c’est normal, ma question est donc posée.

Phase d'Approche :

L'avion maintien bien la vitesse souhaite et les aérofreins le freine bien, mais je pense que comme sur tout avion les aérofreins ont soit un couple piqueur ou cabreur ce qui n'est pas le cas ici.
Sinon l'avion se pose bien en lisse aux environ des 150kts voir moins, mais les freins lui font toujours défaut. »
Par contre, je me suis posé une autre question, sur le 2000 N de Rollus, à la sortie du train, on voit un petit avion avec le train sorti sur le HUD, mais pas ici. Est ce normal ?

                                    Nicolas (Bulls)
                                    CEV Virtuel.

Essai numéro 1. Avion : Mirage IIIV n°2 Configuration à Vide.
Lieu : Base d’essais, Golfe du Lion en Méditerranée.
Heure des essais : 12h30.
L’appareil :
Après avoir fait le tour de l’avion, Pierre et Rooster ont fait un excellent travail. L’avion est beau et allongé. La texture excellente. L’animation des aérofreins est pas mal, on voit d’abord les aérofreins de dessous rentrer.
Panel :
Le panel me rappelle un certain mirage 3C.
Motorisation :
Le bruit est bien modélisé. Je vois les cadrans qui s’affole, le compte tours m’impressionne mais moins que la jauge de carburant, que je vois dégringolé. Surtout que je n’ai pas encore décollé. Je suis inquiets l’indicateur hydraulique principale et de secours ne fonctionne pas. Pourtant je n’ai pas mis de panne en projet pour se premier vol.
Gouverne :
J’essaye les gouvernes RAS, je lâche le frein de parc puis je freine, RAS, l’avion répond. Point négatif l’avion avance toujours malgré le frein de parking et zéro sur la manette des gaz. J’appuie à fond sur les freins, rien à faire, il avance toujours.
Moteurs :
T°Tuyère : 300°C ce n’est pas énorme je trouve. J’enclenche les volets à fond et je regarde le magnifique spectacle devant moi. Je vois les trappes des moteurs faire leurs ballets.
Décollage :
L’avion décolle sur peu de terrain et de vitesse 20 kts suffisent.
Comportement générale :
Dès la rentré des volets, l’avion accélère très rapidement, on se retrouve très vite au niveau 400, je suis monté jusqu’à 67400 fts.
PC : T°580°C, 8150 tr/min
Vitesse max atteint : Mach 1,4.
Puis petit vol stable, je veux ralentir, j’enclenche les aérofreins, on passe de 500 kts à rien en moins de 5 secondes.
Je regarde ma jauge, mince alors, la lampe des 400 l vient de s’allumer. Il va falloir rentrer.
Atterrissage :
A l’atterrissage en VTOL, surtout ne pas jouer avec le manche sur la droite et la gauche, sinon, vous vous retrouvez au tapis. Normal.
C’est un avion rapide pas trop manœuvrable et surtout il faut prendre les habitudes qu’il freine très vite. Donc pas besoin de délai ici.
Chapeau bas à Messieurs Pierre et Rooster.
Nicolas/Bulls CEV Virtuel.